Mon mari était au travail quand mon beau-père est venu me voir, l’air bouleversé. Il m’a dit qu’il voulait me montrer quelque chose d’étrange dans la salle de bain. Je l’ai suivi, sans comprendre, et quand j’y suis entrée — je suis restée figée : sur le sol, des morceaux de carrelage, du ciment brisé… et au milieu, un sac en plastique transparent 😱😱
Ce jour-là, nous étions seuls à la maison. Mon mari était parti tôt le matin, et je passais une journée ordinaire : lessive, ménage, repas. Rien d’inhabituel — jusqu’à ce que je sente soudain une main se poser doucement sur mon épaule.
— « Où est ton mari ? » — m’a demandé une voix grave et rauque derrière moi.
Je me suis retournée brusquement. C’était mon beau-père. Son visage était gris, ses lèvres tremblaient, et ses yeux brillaient d’une inquiétude étrange.
— « Au travail… » — ai-je balbutié. — « Pourquoi ? Il y a un problème ? »
— « Viens, » — m’a-t-il dit calmement. — « Tu dois voir ça toi-même. »
Un frisson glacé m’a parcouru le dos. Mon cœur battait à tout rompre. Je l’ai suivi jusqu’à la salle de bain.
À peine entrée, j’ai eu l’impression que le sol s’ouvrait sous mes pieds. Le mur près du lavabo était éventré, les morceaux de céramique jonchaient le sol, l’air sentait le ciment frais et la poussière. Mon beau-père pointa du doigt un sac posé parmi les débris.
Je me suis accroupie, j’ai pris le sac d’une main tremblante et je l’ai ouvert.
Ce que j’ai découvert à l’intérieur m’a glacé le sang… 😱😱
Une odeur métallique, forte, semblable à celle de la rouille, m’a frappé le nez. Dans la poussière et les morceaux de ciment, j’ai distingué quelque chose de sombre. J’ai d’abord cru que c’était un chiffon, mais en y regardant de plus près, j’ai compris… c’étaient des cheveux. De vrais cheveux humains.
— « Qu’est-ce que… qu’est-ce que c’est ?! » — ai-je crié en laissant tomber le sac. — « D’où ça vient ?! »
Mon beau-père soupira profondément :
— « J’ai commencé à changer les vieilles canalisations. En retirant les carreaux, j’ai trouvé une cavité dans le mur. Et dedans… ça. Je n’ai rien touché. Je t’ai appelée tout de suite. »
Je sentais le froid m’envahir. J’ai rouvert le sac, et cette fois, quelque chose a brillé à l’intérieur — un petit pendentif, un cœur en argent, couvert de poussière, avec une lettre gravée : « A ».
Mon souffle s’est coupé.
— « C’est… le mien ! » — ai-je murmuré. — « Mon mari me l’a offert avant notre mariage… Je croyais l’avoir perdu ! »
Le visage de mon beau-père est devenu livide.
— « Perdu ? Quand ? »
— « Il y a environ deux ans. Je pensais qu’il était tombé dehors… »
Il a secoué lentement la tête.
— « Ce mur a été refait il y a plus de trois ans. »
Je l’ai fixé, sans comprendre.
— « Tu veux dire que quelqu’un a volontairement enfermé mon bijou là-dedans ? »
Ses yeux bougeaient nerveusement. Puis, après un long silence, il murmura :
— « Je crois que c’est ton mari. »
Je me suis reculée, comme frappée.
— « Quoi ?! Mais pourquoi ferait-il une chose pareille ?! »
Il a baissé les yeux.
— « Quand vous avez commencé à sortir ensemble, il passait souvent des nuits entières à bricoler ici. Je pensais qu’il réparait les tuyaux. Un jour, il m’a interdit d’entrer dans la salle de bain. »
Un silence lourd tomba entre nous. Seul le tic-tac de l’horloge dans la cuisine résonnait faiblement.
Je regardai à nouveau le sac. Les larmes me montaient aux yeux. Et alors, j’ai vu quelque chose d’autre au fond — un vieux téléphone portable, recouvert de ciment. L’écran était brisé, mais une étiquette était encore lisible : « Lena ❤️ ».
Je me suis laissée tomber à genoux. Lena — l’ancienne petite amie de mon mari. Celle qui avait disparu trois ans plus tôt, sans laisser de trace.
Mon beau-père s’est lentement assis à côté de moi.
— « Tu comprends maintenant pourquoi je tremble depuis ce matin… » — dit-il d’une voix basse. — « Ce n’est pas un simple mur. C’est une tombe. »
Et tandis que nous restions là, dans la pénombre de la salle de bain, j’ai entendu le bruit d’une clé tournant lentement dans la serrure.
Mon mari venait de rentrer à la maison. 😱